De sa voix grave, d'abord posée puis rapidement si fébrile, parfois moqueuse, parfois rieuse, puis peu à peu ramenée au calme par la mienne :
Madame, j'aimerais continuer cette conversation à genoux.
(...)
(C) Angelika Schreiber
jeudi 24 janvier 2008
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2 commentaires:
A genoux et et aveuglé par un fouloir de soie qui sent votre parfum , roooh ....
je suis tout ouï
Cette histoire est courte mais non moins troublante.
J'aimerais vivre la réciproque...
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