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vendredi 30 janvier 2009

virgin whool - pure laine


Au risque de passer pour une plagiaire profiteuse, je ne résiste pas à l’envie de vous faire découvrir une pépite que j’ai découverte via le (blog) burp de comme une image [http://cui.burp.fr/] (nb : je ne sais pas faire les liens dans un texte et non, merci, je ne veux pas de cours particulier pour apprendre).

[Oups. Ce qui me fait penser qu’il y a d’autres blogs qu’il faut absolument lire –ou regarder- pour découvrir plein de choses intéressantes (par exemplehttp://boudoirlibertin.canalblog.com/...) mais je vous en parlerai un autre jour. ]

Je trouve très sympa de faire partager ses trouvailles. Echange, partage… voilà ce que est intéressant sur les blogs, au-delà de certains exercices parfois un peu (trop) narcissique ou exhib.

Je disais donc que CUI a mis un lien vers un court métrage qui m’a bluffée et que je vous invite vivement à regarder. J'ai eu une réaction épidermique en visionnant ce film. J'explique pourquoi ci-dessous. Mais regardez-le avant !

http://www.page2007.com/actrices/viviane-bonelli/


Comme je le disais chez CUI, il n’y a pas un plan inutile ou manquant dans ce court. Le jeu de l’actrice me déstabilise un peu au début. Je la trouve assez froide, mais somme toute naturelle au regard de la situation. En cela, le film n'est pas racoleur. Et puis, je la trouve très jolie. Le jeune homme n'est pas mal non plus. Le son, en particulier les battements off, est intriguant, voire oppressant. En décalage avec …


Mais je n’en dis pas plus au risque de dévoiler l’épilogue.

Alors, pourquoi ce film (en dehors de l'histoire) m'a-t-il fait réagir phyiquement ? Et bien, je ne supporte pas la laine sur moi. Je n'en porte jamais. Mais bizarrement, être serrée dans les bras de quelqu'un qui porte un pull ou un manteau de laine provoque chez moi des réactions étranges, un mélange d'extase et de choc anaphylatique -enfin, toute proportion gardée quand même. Donc, j'aime lorsque les autres en porte. Fêtichiste, moi ? Vous m'en direz tant...

(Euh ... les grosses chaussettes de rando, ça le fait pas du tout par contre.)

samedi 10 janvier 2009

L'homme nu


J’ai ouvert la boite de Pandore. Oups…

Par hasard, j’ai cliqué et je vous ai vu nu. Oui, vous !

Et un sentiment d’étrangeté m’a envahie.

Je ne souhaitais pas vous voir nu. Enfin pas comme ça, au hasard d’un clic.

Oh, bien sur, des hommes nus, j’en ai déjà vu quelques uns. Au naturel et en images.

Je vais même régulièrement visiter des sites où certains s’exposent (sexe-pose ?) ; je ne me prive pas de critiquer ou de complimenter, voire plus si affinités.


Ce cliché de votre verge m'a troublée. Pourtant, de tel clichés, j’en ai aussi reçus qui m’ont parfois inspiré de textes offerts en privé ou publiés.

Ce sentiment d’étrangeté n’a rien à voir avec l’impudeur ou l’indécence de l’image observée (plutôt deux fois qu’une, il faut bien le dire). D’ailleurs, elle était tout à fait sage, cette image, et vous montrait au repos.

Mais cette image de chair tout à coup venait en résonance de vos écrits et, surtout, de vos commentaires.

Car vous le savez bien, les commentaires sont plus spontanés que les billets publiés et vous dévoilent bien davantage que n’importe quel récit ou cliché.


Et tout à coup, je me suis sentie submergée.

Je me débattais dans le flot de vos désirs, de vos attirances, de vos pensées.

Etrangeté de ce cybermonde qui nous rend télépathes.

J’ai perdu pied. Cette plongée dans votre intimité se prolongeait tout à coup bien au-delà de ma volonté.

Heureusement me direz-vous, contrairement au héros du roman*, je peux cesser de lire dans vos pensées.

Mais en aurais-je la volonté ? J’avoue mon addiction et mes frustrations**.

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* Le parallèle entre le titre de ce billet et ce roman très précisément n'est bien évidemment pas du tout fortuit.

* en matière d’addiction/frustration, je n’ai pu que reprendre les mots de comme une image.

"Je ne veux pas (plus ?) perdre une miette des états d’âme de ***, des élucubrations de *** ou des envies érotiques si finement mises en scène par ***.
L’abondance a quelque chose de vertigineux. Il arrive fréquemment qu’arrivé sur un burp qui me plaît, je clique sur les liens qui y sont proposés à la découverte et ils sont souvent eux-mêmes intéressants. Il m’arrive aussi de ne pas cliquer malgré la tentation, malgré le « il y a sûrement des textes bien écrits là-bas » qui me titille, parce que je me dis que la corne d’abondance n’a pas de limite et que je pourrais me noyer plus encore sous cet océan de mots. Face à cette offre pléthorique, semblable à l’avalanche de romans à la rentrée littéraire, on ne peut que faire le constat – un peu amer – que l’on ne peut pas tout lire et que l’on rate forcément des choses plus enrichissantes que celles dont on s’abreuve déjà."
[Désolée, je ne sais pas faire les liens et j'ai oublié dans quelle note il a écrit ces mots que je trouve si pertinents qu'il me semble inutile de les formuler différemment]