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lundi 29 septembre 2008

La titrisation ? Bof...

Il y a environ un an, j’enregistrais ce blog avec l’idée d’écrire quelques billets très [léchés… euh… pardon, excusez moi] structurés sur la finance et les opérations de haut de bilan. Bref, des trucs abscons et pédants.

[structurés ? mouah, ah, ah… décidément, ce vocabulaire, c’est une obsession !]

J’ai perdu l’envie très, très vite… changé le look du blog après quelques publications. J’étais passé à autre chose. Pour le meilleur ou le pire… à vous de juger.

En fait, depuis 2005-6 ces opérations me semblaient fortement sentir le poiscaille pas frais. Mais, confiante dans le principe de Peter (celui qui veut que l’on atteint tous à un moment son niveau d’incompétence), je renonçais à jouer les Cassandre. de toute façon, personne n'aurait lacher un marché aussi florissant sur des présomptions fumeuses.

Persuadée que cela n’était plus de mon âge, ces montages extrêmement compliqués (bien trop pour ma petite cervelle féminine, dixit un expert en tritrisation et foufounes en folie, et vice versa), consistant généralement à (i) isoler des éléments plus ou moins pourris d’un bilan pour (ii) les fourguer dans une société ad hoc (d’où l’idée d’odeur de poisson, pffff) localisée (iii) sur une île sans foi ni loi, genre l’Ile du Diable… mais (iv) revenant par la porte au fond du couloir à gauche (oui celle qui…) fricoter sur les places financières.

J’ai choisi de faire autre chose. Je n’y comprenais plus grand chose en fait.
Aujourd’hui, je contemple le désastre avec contrition.
Je me rappelle ces commissions européennes destinées à réguler tout cela. Où en sont-ils de l’approbation des directives x ou z ? Le Président n'est pas au courant qu'il y a des gens qui planchent là-dessus depuis un lustre ou deux ! et qui s'accrochent aux branches...

A vrai dire, je ne contemple rien du tout. Je n’ai pas d’économies ou si peu…
Je préfère encore contempler d’autres courbes ou pics. Celles d'Armandie notamment. Zut j'ai perdu son lien mais je vous invite à fureter sur le net.

Bises à tous. C'était le billet : "Mon blog a officiellement un an mais on s'en tape, il y a des choses plus graves sur terre. Ou bien plus douces."

B

edit : TITrisation et non tritrisation... il faut vraiment que je sois plus attentive !

jeudi 18 septembre 2008

S'instruire

Je contemplais ce midi fort dubitativement une longue feuille d’endive insipide songeant combien l’inspiration pouvait parfois manquer à la baise tout autant qu’à la cuisine.

Pourtant je fréquente un restaurant d’entreprise achalandé de manière huppée qui se doit de fournir des mets simples mais soignés à des palais exigeants tout autant qu’attentifs à la ligne de leur silhouette (y compris –et surtout, il faut bien le dire dans ce lieu stratégique- masculine).

« Ohh ! Quels tourments animent donc notre petite française ? » allez-vous vous répliquer pour que confrontée à la crudité oblongue que personne ne songe pourtant à qualifier de phallique, elle en vienne à rêver de sexe.

Entendez par « sexe » bien évidement l’acte d’amour, de baiser, de forniquer, de foutre, etc, bref de s’instruire. (« Un jour elle trompa la vigilance de nos gouvernantes, et nous nous instruisîmes. » Diderot.)

Car croyez moi, telle est ma préoccupation du moment, m’instruire. Et malgré (ou à cause de) mon âge avancé, je ne cesse de découvrir combien je sais si peu et qu’il est encore grand temps que je m’instruise (ou que je sois instruite) avec ferveur mais non sans une certaine candeur.

Ce à quoi je m’applique notamment en lisant assidument les quelques blogs que mon pare-feu satanique m’autorise encore à fréquenter entre deux tâches professionnelles et, à la nuit tombée, les ouvrages recommandés par des esprits tout aussi cultivés que libertins. (D’ailleurs je suis avide de vos suggestions, n’hésitez pas…)

Enfin, certaines nuits s’entend. Je constate derechef, en mâchouillant la chicorée avec autant d’application qu’un fin chibre dressé, que je n’ai guère le temps de lire en ce moment.

D’ailleurs si esprit inquisiteur et taquin, vous glissiez un œil dans mon sac, vous n’y trouveriez qu’un petit opuscule « L’art d’avoir toujours raison » de Schopenhauer, édités aux Mille-et-une-nuits, qui me fut offert tant pour me distraire que par clin d’œil, et dont j’ai bien du mal à dépasser la douzième page.

Les autres raisons de mon état d’élève libidineuse, je me garderai bien de les évoquer ici, ce blog n’étant ni un journal intime ni un confessionnal.

Je réfléchissais donc ce midi à l’acte d’amour, nourissant ma réflexion de la diatribe de Gicerella à propos du manque d’intérêt du sexe sans amour (http://gicerilla.hautetfort.com/, note du 13 septembre), contrée en commentaire par la mention de la tristesse de l’amour sans sexe.

La pétillante Gicerella rappelant fort justement que l’acte d’amour pouvant bien évidemment être solitaire et ce depuis des temps immémoriaux ainsi qu’en manifeste l’existence indubitablement prouvée des godemichés à travers les âges.

Certes.

[Arghhh, j’ai glissé trois adverbes dans une même phrase… un peu plus de rigueur, voire quelques coups de badine me sont sans doute nécessaires pour reprendre ce paragraphe, mais je n’ai ni le temps ni le flagelleur sous la main]

Une chose dont l’acte d’amour ne se remet pas, c’est bien la routine. D’où la nécessité de s’instruire pour varier et faire durer les plaisirs sans avarier l’acte.

L’impudeur est un des ingrédients nécessaires à ces variations.

Aussi est-ce en toute indécence que j’ose afficher à mon lectorat ébahi non pas mon intimité (faut pas rêver !) mais un dessin de Yoji Muku, peintre dont il faut regarder attentivement les détails pour bien apprécier les œuvres. Comme vous pourrez le constater, la dame est invitée à se regarder dans un miroir.

L’acte d’amour peut momentanément être satisfait par une baise rapide, quelques gorgées de mouille, une giclée de foutre de ci, de là. L’acte d’amour entre adultes consentants (évidemment) mérite bien pourtant autant d’inspiration et de virtuosité, de préparation et de lente dégustation, qu’un repas dans un grand restaurant étoilé.

L’acte d’amour revêt bien des formes. Notamment épistolaire et virtuelle.

Vous n'êtes pas au bout de vos surprises.

Vous venez d’être voyeurs.

B pour G



vendredi 12 septembre 2008

Envie de liens


mardi 9 septembre 2008

Aveu d'O'bsessive




Extrême ......... Mon abandon délicieusement dans l'inconfort
Xylographée... Envie d’engraver Votre marque sur ma peau
Cerner............ Mes yeux par la débauche de nos débats/ébats
Ensevelir......... Mon orgueil
Sauvée............ De mes excès par Votre mansuétude
S’Offrir............. Entière, sans retenue, sans complaisance
Ivrogneresse... Buvant à la coupe de mes pulsions
Vivre................ Intenses les moments accordés l’un pour l’autre
Entrouvertes... Mes cuisses humides, rémanence de Vos
désirs

B

lundi 8 septembre 2008

Envie d'obscénité


Suspendue, en attente. Ne plus penser mais être.

NB: cette photo n'est pas libre de copyright.

jeudi 4 septembre 2008

Envie d'absolue indécence