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samedi 22 mai 2010

J'en ai un ! (bis)

Bon, il semble qu'il y ait un souci avec les commentaires sur premier billet... je réédite donc.

J'avais noté la date dans mon agenda, mais pas la bonne, puisque la soirée de lancement était la veille, comme vérifié ce matin sur le site de l'Editeur/libraire (au demeurant... franchement ils pourraient mieux faire que ça pour le visuel !)

Donc, passant au travers de ma mini-galerie marchande préférée (kiosque à journaux, trucs inutiles mais design, food store aux vendeurs/vendeuses improbables -surtout celui des macarons Pierre H- et où il ne faut rien acheter parce que livré d'usine à 8h le matin -je sais, je croise le camion presque tous les matins), indispensable pharmacie et... et... une petite table dédiée à l'érotisme parmi une selection plus vaste et souvent intéressante, de l'espace librairie ; il parait qu'il y a aussi des trucs au sous-sol un peu... mais bof...

bref je les ai trouvés !





Deux piles de quelques exemplaires des premiers livres de nouvelles de la collection Osez (20 histoires...) dont l'un des auteurs est la délicieuse

Vallisneria.

(Désolée mais je n'arrive pas à poster une image plus grande, bizarre...)

En faisant le tour de la table, le livre négligement serré contre mon sein, je découvre aussi deux exemplaires l'impressionnant Taschen "The Big Butt Book". Ce coffee table book, à ne pas mettre sur toute les tables basses, est carré (30 cm x 30 cm), comme son titre ne l'indique pas. L'un était fort abimé... des passionnés sans doute ?


Un joli format difficile à manier. Je pose donc tout pour ouvrir et parcourir, vous me connaissez... je ne peux résister, cet ouvrage dédié à la somptueuse rotondité fessière, en pensant notamment à lui.

Oups... je referme vite car certaines photos sont carrément waoooouh, bien moins sages que celles sur le
site de l'éditeur, dont vous trouverez ici un entretien récent, en VO (pour faire réviser certains agents de sa majesté, hi hi...).

L'ouvrage (39 €) est bien plus abordableque ceux de l'expo Rose à la BNF dont le prix (de 750 à 1500 €) me laisse... de glace.


Comme coffee table book, j'ai préféré une autre publication snobisme mais à petit prix (10,95 €) grapillée au kiosque, un semestriel anglais Man about Town dédié à Paris.




***

Je prends encore un peu de temps pour revenir vers vous. Merci de vos mots ici.
J'ai essayé de trouver quelque chose à vous offrir mais je suis incapable d'insérer de la musique ici.

***
Je sais, ce billet est trop "dédié" mais que voulez-vous, dans mon lit, c'est un vieux dico des synonyme qui me sert de tapis souris. (Billet écrit à 6h45)

***
Je file, il fait trop beau, j'ai rendez-vous pour déjeuner en terrasse et j'espère que vous aussi !

Ah... J'oubliais, je n'ai pas encore lu le livre.


B

5 commentaires:

Stan/E. a dit…

Mais non, PF alias B... C'est un oubli de coche dans votre message initial, sur le tableau de bord, qui fait que vous avez retiré sans faire exprès dans "option" la possibilité de laisser des coms sur CE message précis. Allez voir.

Et merci pour la découverte.

Vallis a dit…

c'est quoi "un oubli de coche dans votre message initial, sur le tableau de bord," ????
Bon, je vois que le soleil vous attire irrésistiblement loin de nous !
tant mieux ;-)

Beau dimanche alors !

Stan/E. a dit…

Vallis: J'utilse Blogger aussi, et donc quand on rédige son message avant de l'envoyer, il y a plusieurs cases dans l'onglet "option", dont une qui permet d'autoriser ou pas les commentaires sur le post qu'on vien de faire.

Parfois on ne veut pas de réactions... (moi si, toujours, mais bon, c'est possible)

gicerilla a dit…

Surtout surtout, ne pas allez voir le site de l'Editeur sous peine de ne plus jamais se mettre à poil ! Elles sont pas humaines ces filles. Et revoilà l'époque du maillot ! Arrrgh malheur...
Sympa de vous revoir active sur le blog à nouveau !

Anis Hart a dit…

Il me faut toujours un truc à lire, et pour le coup mon prochain achat sera osé, si je peux dire.
En ce moment ma lecture traite de psychologie, ça me changera...
D’autant que les histoires de Vallis ont une légère tendance à emporter le lecteur, alors comme livre de voyage, glissé entre deux pavés, ni vu ni connu!
Merci de ce beau partage