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dimanche 18 septembre 2011

Vellini, psganarel : entre frustation, censure et contradiction

Vellini est une belle plume, au choix très sur pour illustrer son propos de fort belles images.

Mais on ne peut pas commenter... frustration

Une belle plume aussi, dans un style d'écriture totalement différent : psganarel.

Mais là, je n'arrive presque jamais à commenter... auto-censure

Ceci me laisse très perplexe. Auriez vous une explication ?

***

Message personnel à Enfant Gâté : Merci pour votre commentaire. Mais je n'ai pas encore digéré votre dernier billet. Donc, ravie et agacée. Bref, en pleine contradiction. Ce qui a le don de me faire taire. Vous pouvez vous vanter !

Cela dit, j'allais parler de déviance et de fétichisme...


[pas de nu masculin, je vous invite à en voir chez psganarel]

10 commentaires:

dita a dit…

:)
je connais la même frustration chez vellini, mais je passe parfois en off pour lui laisser mes impressions sur ces textes.C'était ma première visite dans les blogs érotiques,vellini...

Je peux comprendre son choix. Cela met un autre éclairage sur ces textes. et ça va bien avec l'ambiance de son blog qui se veut assez mystérieux et envoutant.
personnellement je serais bien malheureuse sans vos commentaires à tous car le blog reste pour moi un lieu très léger et où j'aime échanger, rire, pleurer . Un peu comme un diner en ville qu'on partagerait. et j'aime l'idée que les lecteurs échangent même quand je ne suis pas là...
Chez psganarel , on peut commenter ,non? :)
je vous embrasse et vous souhaite un bon dimanche

PSganarel a dit…

Comme vous, j'ai parfois la même frustration à ne pas pouvoir laisser un commentaire chez Vellini. Un interdit technique qu'il me pèse de forcer.
Quant à l'interdit moral: je refuse de me laisser enfermer par ces valeurs castratrices et me bats contre mes propres inhibitions. Cela ne signifie pas que je n'ai pas d'âme.

Ps: Votre dédicace me touche beaucoup.

cosc a dit…

la frustration est surtout de ne pas aller assez a la messe, enfin a votre messe

Vellini a dit…

Lorsque j'ai vu le titre de votre billet sur mon flux, je me suis dit... "Non, moi? Pourquoi frustration?" O_O

Mais, je comprends... Et je ne sais que répondre. Disons que c'est un peu comme si je déshabillais face une glace teintée ne sachant si derrière cette glace je peux être vu ou non. Quelque fois je me plais à imaginer que des regards se posent sur moi et je m'en excite, d'autrefois je me conforte et me sécurise en m'imaginant être seule pour me laisser aller comme bon me semble. ;)

Pour les images, oh! oui j'adore les belles images et je sais que c'est votre fort, d'ailleurs pendant longtemps c'est chez ici que je suis venue silencieusement piocher de jolis clichés. :)

J'ai passé un week-end exécrable... Et J'avoue que votre clin d'oeil m'a filé un très grand sourire... Merci. :D

Vellini a dit…

@Dita: Un acte manqué t'a conduis dans mon "jardin secret".. Sourire :)
Bah, toi, je comprends que tu sois malheureuse s'il n'y avait d'échanges sur ton blog... Tu es une grande bavarde. Gourmande et bavarde :P

usclade a dit…

Concernant l'auto-censure, il faudrait quand même nous en dire plus !

(laissez vous aller, les blogs ici ou là sont comme autant de divans :-)

Monsieur Jones a dit…

Je vous comprends, c’est très pénible de devoir siroter ses frustrations quand on part en ballade sur la route des blogs.
Moi même je suis au paroxysme de la frustration quand j’aperçois l’image pieuse qui accompagne votre billet.
Cette « repentante » nous laisse dans l’ignorance de ce qui a suscité la rédemption qui lui signe la croupe (et quelle croupe!).
Mon imagination cavale déjà...

Petite Fr@nçaise a dit…

@Monsieur Jones : j'aime bien laisser les imaginations cavaler...

enfant gaté a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
enfant gaté a dit…

mais que fais je donc là au milieu, moi un enfant si sage... ? ;-)