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lundi 4 octobre 2010

Time to kick some ass (private joke)



A bien des égards, ce billet aurait dû avoir une autre couleur et être publié le 1er octobre.

Mais un tout petit rhume, soigné avec une bonne dorlote dérivant sur quelques occupations diverses et la date est passée.

Peu importe. Je m'adapte et vous livre ma pensée du jour :

J'ai en horreur les plagiaires, contrefacteurs et autres faussaires, pompeurs d'idées à défaut de pomper autre chose qu'on ne leur laisse pas approcher.

Sauf ceux qui ont du talent, bien évidemment !

Mais là, le talent somme toute superficiel le dispute à une goujaterie insondable (sauf aux amateurs de cul de basse fosse, il en existe…), ça en devient presque magnifique.

Et pourtant, je me croyais préservée de cette engeance là par ma paranoïa naturelle et quelques mois d'intenses fréquentations minitelistiques.

Et il est vrai que la vie "IRL" me l'avait épargnée jusqu'à présent.

Aussi avais-je abordé le sphère du web avec circonspection, mais candeur.

Il semble d'ailleurs que cette espèce se développe particulièrement bien en micro culture blogosphérique.

Alors enfin, ça y est, je l'ai croisé !

La quintessence du goujat.

Certes, il y a eu quelques prétendants à qui je conserve malgré tout mon amitié ; après tout, si l'on n'accepte pas les défauts de ses amis…

(J'attends donc sans aucune impatience quelques dîners, verres, appels de celui qui trouve un peu con de dire 'allo' à une inconnue, exhibitions publique-privées de phallus et autres gourmandises. A bon entendeur… ils se reconnaîtront. Je ne relance pas, hein...)

Or donc, celui-là a obtenu l'oscar.

Evidemment, cela aurait dû rester dans mon panthéon personnel, sans tabour ni pipeau... euh, trompette.

Mais lorsque je vois avec quelle facilité il continue à pomper les blogs des autres pour nourrir le sien, je suis consternée, non pas de ses agissements… ça le regarde, mais de mon manque de jugeotte, et surtout, de n'avoir pas su écouter mon instinct.

Car au premier regard porté sur lui, j'avais "senti" le personnage.

Oui, je suis très tactile mais pas seulement...


Le voyant disparaître après quelques minutes passées sous mon regard (cf post ad hoc), je m'étais dit... quel malotru, ce type !

Et puis, oui, ensuite j'ai été flattée et ravie qu'il me sollicite !


C'est mon côté diva.

Et lorsque l'on m'a mise en garde, appréciant le personnage peu fréquentable, j'ai répliqué que moi non plus, je n'étais guère fréquentable… et j'ai voulu passer outre mon instinct.

C'est mon côté enfantin.

Ca fait beaucoup.

Puis un beau matin, je me suis levée guérie. J'avais fait une croix sur le personnage, à défaut de le mettre en croix.

Une amie à qui j'en parlais a failli mourir de rire.

Certes je lui confiais que bien qu'étant définitivement guérie, je l'aurais bien encore fait attacher par les pouces et les orteils, ainsi que les c… par quelque maître ès qualité en noeuds qui font mal là où ça fait du bien, puis aurais convoqué une demi douzaine d'hétaïres au corps huilé et nu, le téton arrogant et le cul bien rebondi, armées les unes d'orties, les autres de plumes, pour livré son corps à leurs caresses… plus ou moins amicales...

Je n'irai pas plus loin, je tiens à préserver l'anonymat si jamais quelqu'une prenait le relais… (bon courage !)

Et surtout, ce genre de fête se réserve essentiellement à ceux que l'on estime, n'est-ce pas...

Une autre jeune femme, qu'avec modestie je n'ose qualifier d'amie, devant un thé à la menthe sur une terrasse, me confirma par quelques faits, s'il en était encore besoin, mon égarement.


Je ne précise pas qui est ce goujat magnifique... je crains bien que vous ne le sachiez déjà !


Voilà ! Il paraît qu'un blog n'est pas un lieu pour régler ses comptes.

Bah… ça fait quelques jours que ça couvait et là, le compte est soldé !

NB : et en plus, le rhume est guéri !!!

***

Bon, cela ne va pas m'empêcher de poursuivre mon exploration de la micro blogosphère... d'y publier et commenter, même si je m'en abstiens pour l'instant, et je détourne à dessein une phrase de ce superbe billet de Vinvin :

"Car je me délecte des couloirs sombres, des labyrinthes, des entrepôts, des greniers, des chemins de traverse. J'aime me perdre et douter."



***

Prochains billets :

- Nuit Blanche manquée & jour de picnic dominical réussi !

- Maisons Closes, où petite française vous révèle son fantasme absolu : tenancière de bordel dans le pays du Hole-in-the-wall Gang. (oui, je parle à la troisième personne si je veux ! )

(en avant-goût, vous pouvez toujours chercher "hétaïre" sur g**gle)

Pas d'illustration sonore ou iconographique… ou alors peut-être "Eye of the Tiger"